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Paradoxes au Féminin

Françoise CLOAREC

24 octobre - 18 novembre 2005

Vernissage le 16 novembre 2005 à 18h00

15 avenue de ségur - 75007 Paris, France

Ouverture : Lundi au Vendredi : 12h00 - 18h00 ou sur RdV tel : 0145512607

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Françoise Cloarec

Françoise Cloarec est née et travaille à Paris.
Docteur en psychopathologie, elle travaille comme psychologue clinicienne et psychanalyste depuis vingt ans, à l’hôpital de Ville Évrard et à Paris.
Diplômée de l’École Nationale des Beaux Arts de Paris, elle a exposé à de nombreuses reprises.

Elle est auteur de quatre livres sur la Syrie publiés chez L’Harmattan. Bîmâristâns, lieux de folie et de sagesse, Syrie, un voyage en soi, Le Caravansérail, Le Temps des consuls. Ses peintures font cohabiter différents mondes, religions, cultures et civilisations. La Syrie y est souvent évoquée derrière les traits gris et rugueux des statues de Mari. Celles-ci voisinent alors avec d’autres personnages vivants ou inanimés, d’époques plus ou moins lointaines, plus ou moins certaines. Lorsqu’ils ne s’ignorent pas les regards de ces figures se croisent, s’étonnent de partager le même espace sur la toile. Françoise Cloarec a consacré plusieurs études à des femmes artistes telles que Séraphine de Senlis et Camille Claudel. Elle a également donné une série de conférences sur le rapport entre archéologie et psychanalyse dont “Archéologie d’une sensation” à Damas et Alep.

Ses travaux ont été exposés au Centre Culturel Syrien, à la Galerie des Beaux-Arts et à l’Orangerie du Jardin du Luxembourg à Paris, ainsi qu'à la Galerie Le Pont à Alep.

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Presse

Françoise Cloarec aime la Syrie. Il y a une dizaine d’années, elle rencontre ce pays pour la première fois. C’est d’abord Damas, puis Alep, et non loin le fantôme pierreux des villes mortes échouées au milieu des terres désertiques, et encore la beauté bleue de l’Euphrate, le site de Mari, ses statues aux yeux dilatés qu’elle retrouve dans les vitrines du musée archéologique d’Alep ; à quelques mètres d’elle les tablettes d’argile d’Ebla alignent la multitude serrées de leurs griffures cunéiformes, vieilles de plus de quatre mille ans… Périple et parcours initiatique s’enchâssent et déclenche un fois de plus le geste créateur. « Peut-on s’éprendre d’un paysage » se demande-t-elle. La Syrie ne va plus la quitter.

Nathalie Galèsne Syrie, Éclats d’un mythe. Actes Sud 2002

 

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